Thinkless

Qui est "Thinkless" ?

Thinkless c’est un groupe de potes devenus des amis, puis une sorte de seconde famille. Des personnes débiles avec un état d’esprit « simple » celui d’une même passion : « Rouler comme des porcs, passer des courbes bien trop vite » - Parce que ça nous fait vibrer et que ça provoque chez nous des sensations indescriptibles. La passion de cramer un plein de 98 à chaque fois qu’on part en montagne et permettre de se vider la tête en se posant au sommet. Un groupe qui roule pour rouler en prenant simplement du plaisir sans se soucier du reste. Brûler de l’essence et faire fondre les pneus, c’est ça notre moteur.

Quel est votre parcours ?

Nous sommes rencontrés au départ lors d’une sortie endiablée dans un col, deux de nos membres sont devenus rapidement inséparables et puis à travers le groupe RICERSQUAD nous avons connu le reste de l’équipe avec qui la formule gagnante a été trouvée. La formule est simple : Touge, pneus, SP98, nuit.

Pourquoi avoir choisi ce nom ?

En fait nous n’avons pas cherché beaucoup, parce que c’est la première chose qui m’est venue à l’esprit quand j’ai réfléchi à un nom de « crew ». Pourquoi ? Simple. Parce que quand je mets ma clé dans le neiman, je fais en sorte de ne plus penser, de « penser moins » et de concentrer toute mon attention sur ma conduite. J’oublie tout lors d’un touge ... C’est ma façon de voir la vie du bon côté, d’effacer tout ce qui me tracasse le temps de dévaler une série d’épingles ...

Juh - Parce qu’au volant j’oublie tous mes soucis extérieurs, une grande respiration en bas du col et c'est parti, je suis déconnecté du monde le temps d’une montée.

Guilod - Quand Jeremy nous a proposé ce nom, ça m’a paru évident, c’est peut-être ce qui définit le mieux notre état d’esprit.

Quel est le but de votre groupe ?

Medri - Réunir des passionnés comme nous, des mecs qui vivent pour brûler de la gomme sur des routes entourées de sapins, à 500, 800 ou plus de 1000 mètres d’altitude, qui travaillent chaque jour pour se payer des pièces ou des trains de pneus et qui ne se posent même pas la question de quel sera leur programme de ce soir.

Juh - Trouver des gens aussi débiles que nous pour se dire que c’est cool de cramer un train de Michelin en 2000km et se réunir tous au sommet.

Guilod - Rencontrer des gens qui partagent notre passion que ce soit pour échanger ou simplement découvrir de nouveaux itinéraires d’arsouille.

Quelles sont les différences avec les autres groupes auto ?

Medri - On est vraiment axés sur le « touge ». On vient du RICERSQUAD, certes, mais ce groupe est vraiment là pour montrer notre passion aux gens et essayer de trouver des fous furieux tout aussi tarés que nous.

Juh - On est vraiment « spécialisé » sur une passion celle de l’arsouille nocturne. On est là pour rassembler des gens et pas pour faire des différences entre celui qui roule en 1.4 TDi 75 et celui qui monte en M3.

Guilod - On est vraiment là pour le touge, juste partager nos arsouilles et rencontrer des gens qui partagent cet état d’esprit, peu importe leur voiture.

Comment êtes-vous organisés ?

C’est assez simple, le soir après le travail, quand tout le monde est disponible. Il y a un lieu de rendez-vous, on mange un bout, on fait la pression des pneus et c’est parti quoi ! On n’a pas vraiment d’organisation. On connait tous le programme à l’avance et même quand quelqu’un a un empêchement, il nous rejoint toujours au sommet plus tard pour brûler de l’essence et passer un bon moment.

Que prônez-vous ?

La liberté au volant. On ne fait pas ça n’importe où ni n’importe quand. On fait toujours en sorte de ne mettre que notre propre vie en danger. Donc oui, quand on « touge » on pense moins, mais on ne pense pas moins à la sécurité des autres. L’adrénaline et cette passion que beaucoup ne pourront certainement jamais comprendre, c’est le fait de prendre du plaisir, de quitter la merde du monde habituel pour se consacrer à un moment entre nous. Se vider la tête comme ça, sans règles ni prise de tête. Vivre des moments qui ne perdent pas d’intensité bien qu’on les vive quasi tous les jours.

Comment avez-vous connu BARJO族ZOKU ?

BARJO族ZOKU c’est le sang, c’est la famille tu connais (accent marseillais douteux). Non, plus sérieusement c’est des rencontres qui se font sans vraiment les provoquer. Une passion commune et en général ne suffit de pas grand-chose pour qu’une alchimie se fasse vite ressentir entre deux groupes de maboules. C’est aussi l’un des seuls groupes avec qui l’entente est au top et le sera toujours, je pense. La même passion et surtout des gens qui ne se prennent pas la tête. Ils sont comme nous des passionnés de caisse sans règles et sans prises de tête. Ce sont à peu près les seuls qui sont dans une optique similaire à la nôtre et du coup le courant passe bien entre nous.

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